L’emballage métallique et le contact alimentaire

L'emballage métallique garantit une sécurité alimentaire optimale

L’emballage métallique constitue une barrière à 100% contre l’oxygène, la lumière, les microbes et la contamination environnementale, ce qui le rend parfait pour emballer une large gamme de produits en toute sécurité sur de longues périodes.

Quelques exemples concrets :

  • Les canettes de boissons sont résistantes aux chocs, aux perforations, aux températures et pressions extrêmes. Elles offrent une barrière totale contre la lumière, le gaz et l’oxygène, et permettent ainsi de conserver parfaitement le contenu et de livrer des produits sûrs.
  • Le procédé de mise en conserve à haute température (plus de 100°) est l’un des plus sûrs pour conserver des aliments. Les températures élevées de la cuisson en autoclave stérilisent les aliments à l’intérieur des boîtes de conserve, ce qui permet de conserver les nutriments et les qualités nutritionnelles, sans avoir besoin de conservateurs, de réfrigération ou de congélation, et ce jusqu’à 5 ans.
  • Les capsules à vis garantissent la qualité et la sécurité des produits scellés sous vide.

L’intégrité des emballages est également essentielle. Certains produits, y compris certains aliments, sont agressifs pour le métal, un revêtement protecteur interne de haute performance est donc vital pour protéger à la fois l’aliment et le récipient et pour assurer la pleine durée de conservation du produit.

Le Comité de Prévention du SNFBM

Au travers de son Comité de Prévention, le SNFBM traite des questions relatives à la prévention des risques liée au contact alimentaire pour l’emballage métallique.

Dans le respect du droit de la concurrence, l’objectif de ce comité est triple :

  • Représenter les intérêts des fabricants d’emballage auprès des autorités en participant aux groupes de réflexion sur les projets de réglementation et guides ;
  • Assurer une coopération entre la filière métal et les représentants des autres matériaux d’emballages pour mieux défendre les intérêts communs ;
  • Développer une approche harmonisée et industrielle des risques de contamination, notamment au moment des changements de législation tant au niveau national qu’européen.

Ce comité travaille en partenariat avec des organisations professionnelles amont et/ou aval afin d’élargir les champs de compétences sur tous les sujets complexes.